top of page

Accueil > Éditorial > Vous êtes ici > La plume sous le plaid

La plume sous le plaid

Et soudain, bam, le masque tombe.

C’est moi, Laura.

Laura Isaaz

 

C’est moi la petite plume (grande ? roh, arrêtez ça me gêne) qui se cache derrière tous les articles que vous pouvez voir sur le site depuis le mois d’août 2020. C’est moi qui vous parle des Alpagas, de leurs humeurs, des différents types de tricot. C’est moi qui vous dis comment laver votre plaid, comment l’utiliser aussi. C’est moi, en gros, qui vous donne toutes les informations dont vous avez besoin pour entrer dans l’univers de La Maison de la Maille et en savoir le plus possible sur ses produits mais aussi sur ses valeurs.

 

Et ce sont ces valeurs, définitivement, qui m’ont poussée à accepter de collaborer avec la marque. Juste après les 50 plaques versées chaque mois sur mon compte (c’est le moment de voir si les amoureux de la maison aiment autant les bonnes vannes que les plaids de luxe). J’ai d’abord été très admirative et touchée par le duo de fondateurs formé par Charlotte et François-Xavier.

 

Charlotte décide de tout envoyer valser (son travail dans une agence de design de luxe et son appartement à Montmartre) pour aller vivre en pleine campagne avec sa famille. Chance (vous-vous-dites). Là-bas naît l’envie folle de créer un lainage très haut de gamme comme il ne s’en fait plus tellement de nos jours. Le pari est lancé, La Maison de la Maille aussi.

 

François-Xavier, photographe de mode et entrepreneur, court les Fashion Week du monde entier tout en dirigeant son agence de marketing. Une vie professionnelle bien remplie que François-Xavier n’hésite cependant pas à charger un peu plus lorsque Charlotte lui parle de son idée. Un projet Made in France dans le luxe équitable, il fonce.

 

« Tu écrirais pour nous ? »

 

Arf. J’ai d’abord failli refuser. Bien consciente que le ton rédactionnel qui me serait demandé sortirait complètement des habitudes que je m’étais fixées et de la direction vers laquelle j’allais tout doucement. Celle d’un chemin libertaire pour mon écriture, celui façonné à la force du poignet et des grands changements de cap. Alors écrire sur les différentes catégories de laine et le caractère des Alpagas… Bon.

 

Et pourtant.

 

J’ai foncé, aussi. J’ai foncé parce que j’ai aimé le contact que j’ai eu avec Charlotte et François-Xavier. Deux personnes passionnées, bosseuses, mais qui n’en oublient pas les valeurs clés des histoires qui durent. Le respect, l’altruisme, la confiance. J’ai aimé leur façon de me parler de la marque, leur énergie, leur douceur, leur émotion, leur attachement à des valeurs qui sont très proches de celles que je dis être les miennes.

 

Claude (ma chienne, un chihuahua de deux ans aux globes oculaires offensifs) n’a pas aboyé sur François-Xavier quand elle l’a vu. Elle s’est même laissée prendre en photo. Je suis folle et ça n’est plus un secret pour grand monde, mais j’ai su aussi à cet instant que j’avais fait le bon choix en entrant dans l’équipe.

 

J’ai foncé parce que j’aime cette envie de revenir à du beau, du vrai, de la qualité. J’aime l’idée qu’on se batte pour la planète et qu’on continue de croire que tout est possible même si ce n’est pas toujours simple. J’aime savoir que c’est une marque qui travaille avec les animaux, en les aimant. (Je rêve d’ailleurs de pouvoir aller faire un tour dans l’un des élevages de la marque un jour. François-Xavier, Charlotte, je pose ça là).

 

J’ai foncé parce que pour la première fois depuis longtemps, je prends plaisir à écrire sérieusement. Sans trop de vannes et de second degré, juste pour donner des infos, participer à vous cultiver et surtout, surtout, vous faire aimer la marque autant que moi je l’aime.

 

Ah et je suis devenue incollable sur la laine, le tricot et les Alpagas. Ne me testez même pas.

 

Laura

 

Note de La Maison : Laura Isaaz est journaliste (et ex-journaliste du ELLE), autrice et créatrice du blog Maag. Vous pouvez la retrouver sur instagram : @laura_isaaz

Produit à découvrir : 

bottom of page